vendredi 27 janvier 2012

Définition.

Définition

"Consocratie",
De nos jours, le consommateur final est un citoyen qui, peut prendre conscience de son immense pouvoir une fois groupé et qui peut donc devenir un conso-citoyen ayant enfin le pouvoir de dire NON.
La démocratie connait le concitoyen mais pas le conso-citoyen, il fait trop peur.
Le citoyen s'exprime traditionnellement lors des élections. Mais ensuite il est privé de tout véritable pouvoir,
le conso-citoyen lui agit au jour le jour, a son niveau il influe énormément sur notre devenir,
le consocrate lui est un conso-citoyen qui veut aller plus loin dans la défense des valeurs fondamentales.
Le monde actuel est-il vraiment  libéral ?
Un grand nombre de personnes pensent que c'est une illlusion. Monarchismes et oligarchismes sont toujours d'actualités surtout en économie car c'est le but de toute entreprise, devenir incontournable !
Les institutions et gouvernements sont noyautés, influencés, par les lobbies. Le citoyen, malgré le progres des techniques, ne peut que constater, son avis est encore une fois, oublié, et il n'a plus le temps.
Sur le Net, de nombreux sites dans des domaines différents attirent des citoyens internautes. Malheureusement, il n'y a toujours pas de coordination efficace, alors que le désir de s'impliquer et de se défendre c'est-á-dire d'AGIR grandit.
Voila pourquoi nous inventons Consocratie, au service de tous ces groupes, associations, collectifs qui souhaitent et veulent que cela change, que leurs avis soient réellement pris en compte.

 http://www.consocratie.eu/

Appel au Boycott du thé par Salariés cgt Fralib

Les salariés de Fralib prennent des risques car nous le rappellons le droit au boycott n'existe pas
et pourtant sur le site du nouvel obs on peut lire : «Non à la fermeture de Fralib ! Boycott de Lipton et des sachets pyramides !» C’est la campagne d’affichage qui mobilise, depuis mardi, une trentaine de salariés de l’usine Fralib, produisant les sachets de thé Lipton et Eléphant près de Marseille. Aguerris par neuf mois de conflit, ils ont opté pour un moyen d’action inédit afin d’empêcher la fermeture de l’usine, annoncée fin septembre par Unilever. Et sauvegarder ses 182 emplois. Olivier Leberquier, délégué CGT, ne croit pas aux motifs économiques invoqués par la société : «C’est une escroquerie intellectuelle. La direction compare Fralib à ses autres sites européens. Mais c’est elle qui a créé les conditions pour affaiblir notre production. Ces trois dernières années, Unilever a investi 97 millions d’euros en Pologne, en Belgique et en Angleterre, et 6 millions en France !» Pour le syndicaliste, cet appel au boycott est le dernier recours pour «sensibiliser le consommateur». Et préserver «la dernière usine française de conditionnement de thé parfumé», alors que l’Hexagone est, selon lui, le premier marché pour ce produit en Europe de l’Ouest.
et en images sur France 3 :
http://mediterranee.france3.fr/info/provence-alpes/fralib-ferme-un-coup-dur-a-gemenos-65092679.html?onglet=videos

Dossier (agoravox) :
Présentation de l’entreprise
FRALIB est une entreprise crée en 1989, filiale de la multinationale UNILEVER qui produit 400 marques dans les domaines des soins personnels et des produits alimentaires. On y trouve entre autres les marques Knorr, Slim Fast, Lipton, Cif, Omo, Axe, Lux, Rexona, ainsi que Vaseline très utile à la direction pour se retourner contre les salariés qui serrent les fesses !
Le chiffre d’affaire au niveau mondial d’UNILEVER est de 39 800 000 000 € (si vous avez du mal à lire le chiffre, c’est normal !).Les produits sont vendus dans 170 pays et il y a 264 sites de production.
Aux origines du conflit :
Tout remonte selon les salariés à la mise en place de la nouvelle direction de M Llovera, ancien patron de Coca Cola, en 2008.
Le bilan de la direction est particulièrement éloquent et les méthodes employées symptomatiques d’un capitalisme amoral, qui place au dernier rang de ses préoccupations le travailleur, producteur des richesses dont il tire pourtant tous ses bénéfices.
Il faut dire qu’il ne fait pas bon être ouvrier chez FRALIB depuis la mise en place de M Lovera, actuel PDG de l’entreprise.
Depuis son installation aux commandes, les conditions de travail se sont très fortement dégradées et les salaires n’en finissent pas de perdre du terrain par rapport au capital des actionnaires et leurs dividendes. Il a bien proposé aux salariés une augmentation de 0.2 % mais à condition qu’ils payent eux-mêmes leur mutuelle, ce qui au final faisait un salaire net moins élevé qu’auparavant ! Le comble de la mesquinerie.
Il faut savoir en effet qu’un opérateur de niveau 1 gagnait il y a 20 ans 46% de plus que le SMIC. De nos jours, il ne touche plus que 3.5% de plus ! L’érosion des salaires est une réalité et contraste fortement avec les profits réalisés.
Dans le même temps les gains de productivité ont été de 50% et les dividendes perçues par les actionnaires du groupe se sont élevées à 1 milliard et 50 millions d’Euros entre 2007 et 2008.
Le PDG d’UNILEVER quant à lui, perçoit un salaire de 393 000 € par mois, soit 273 fois le SMIC !
On pourrait se dire qu’une entreprise aussi florissante que celle là, sur notre territoire, doit générer beaucoup de recettes fiscales…
C’est sans compter sur l’habileté financière des patrons qui ont crée une filiale en Suisse, propriétaire des matières premières et des produits finis, qui centralise en Suisse tous les profits réalisés en France ! Cela représente, d’après les représentants syndicaux, un montant de 200 millions d’Euros qui ne sont pas portés au bénéfice, donc non imposés par le Trésor Public. Le montant non perçu par le Fisc s’élèverait à 67 millions d’Euros par an. Un véritable détournement fiscal, réalisé sans doute dans la plus grande légalité !
Concernant Fralib voici les chiffres :
  2009 2008 2007 moyenne secteur 2009
Rentabilité eco 25% 14% 17%  
Renttabilité capitaux investits 20% 113% 19%  
Excédent Brut d'exploitation 31% 17% 13%  
Résultat d'exploitation 7,9 millions d'euro 6,4 millions d'euro 6,6 millions d'euro  
         
         
         

Quelles revendications ?
Les salariés de Fralib demandent une augmentation de salaire de 200€ par mois. La masse salariale ainsi générée représenterait un surcoût de 2 centimes sur chaque boite de thé de 25 sachets. Le coût salarial pour l’entreprise passerait de 15 centimes par boite à 17 centimes !
Même si cela était répercuté sur le consommateur au final, cela ne représente presque rien par rapport au volume des ventes.
Les économies se font sur les salaires qui ne cessent de s’éroder face aux revenus du capital, mais aussi au détriment du consommateur. En effet, les sachets de thé qui a l’origine pesaient 20 g, ont subit une cure d’amincissement (comme les produits allégés de la marque) et sont passés à 16 g ! Malgré cette substantielle économie de 20% sur la matière première, réalisée sur le dos des consommateurs, le prix à augmenté régulièrement…
Les méthodes pour diminuer la masse salariale sont perverses. Ainsi, pour justifier 57 licenciements, l’entreprise a tout simplement transféré la production de 300 millions de sachets en Belgique. Vive le marché européen et le libre-échangisme !
Et comme rien n’arrête un bon PDG bien décidé à optimiser les profits, la qualité des produits en a aussi fait les frais : La direction a fait passer 12 mécaniciens chargés de la maintenance des machines à la production. Les machines tombent en panne et les opérateurs font ce qu’ils peuvent pour assurer tout de même la production. Il s’en ressent une baisse de qualité que les opérateurs déplorent. Le moral des travailleurs s’en ressent. Les cadences augmentent et le stress au travail aussi. Cela engendre des arrêts de travail, des accidents, et de nombreuses dépressions. L’ambiance est morose et certains employés craignent d’en arriver au suicide (le syndrome France-Telecom)
Les ouvriers dénoncent les conditions de travail qui se sont fortement dégradées depuis 2 ans. Ils ont interpellé à plusieurs reprises le service qualité, ainsi que la direction. Participé à de multiples réunions ou ils étaient écoutés. Ils pensaient alors que des gens aussi intelligents tiendraient compte de leurs remarques pour le bien de l’entreprise…c’était préjuger de leurs facultés…Et tout a pu continuer à empirer tranquillement.
Les représailles patronales :
Il ne fait pas bon être syndiqué ou pire encore, délégué syndical à FRALIB. Un des représentants de la CGT au Comité d’entreprise, M Gérard CAZORLA en a fait les frais. Le début de sa carrière a été tout à fait normal, avec une avancée tout à fait régulière, jusqu’au jour ou il est devenu représentant syndical, tout a basculé. Il n’a plus eu accès à aucun avancement. Il est resté bloqué au niveau ou il était lors de son engagement syndical. Il a intenté un procès pour discrimination.
La dernière trouvaille de la direction a été de porter plainte contre 4 leaders syndicaux pour entrave à la liberté du travail, en référé. Les grévistes ont dû se justifier et ont produit 6 attestations de travailleurs non grévistes confirmant que personne ne les empêchait de se rendre à leur travail. Nous avons personnellement constaté qu’il n’y avait aucun obstacle à la libre circulation dans l’entreprise.
Cette tentative d’intimidation n’impressionne pas les grévistes qui sont bien déterminés à poursuivre le conflit jusqu’à satisfaction de leur revendication.
Conclusion
Le conflit de FRALIB pose tous les problèmes du capitalisme financier et de son bras armé, le mondialisme.
  • Economie au service du capital et non des salariés considérés comme une variable d’ajustement.
  • Diminution progressive ou brutale de la masse salariale considérée comme une charge s’opposant au profit
  • Augmentation des profits du capital et diminution des salaires et du nombre de salariés
  • Augmentation toujours plus importante de la productivité, au détriment de la qualité des marchandises et du bien être des employés.
  • Rythmes de travail toujours plus difficiles à tenir pour augmenter la plus-value
  • Libre circulation des capitaux et des marchandises qui favorise l’évasion fiscale et le dumping social
  • Méthodes de management autoritaires, discriminatoires, sans considération humaine
La solidarité doit être totale et le soutien à la lutte des FRALIB sans faille, car ce qui se joue actuellement est une bataille décisive entre le capital et le travail. Si le capital gagne cette lutte, il n’y aura guère plus d’espoir de changer le système qui favorise les revenus du capital (actions et dividendes) contre ceux du travail. La baisse des salaires, les licenciements et le chômage ne touchent pas les capitalistes. Ce sont les travailleurs qui en souffrent. Pendant ce temps, tout est fait pour que les riches deviennent plus riches sur le dos des classes moyennes et populaires. Tous ces sacrifiés sur l’autel du capitalisme n’ont rien demandé à personne et subissent la loi du plus fort.""
Source : Agoravox

Le non-consommateur ou l'avènement de la consocratie

Le consommateur français fait de la résistance. Finies les théories de comportement d'achat. Il attend des industriels, des distributeurs, des publicitaires une autre communication, non plus unilatérale, mais multilatérale et dialogale ! .

 Les Français ont repris en main leurs actes de consommation. Ils sont entrés en résistance : contre les théories qui tentent de modéliser son comportement et qui sont bien obligées de reconnaître l'incomplétude intrinsèque de leurs modèles et la part d'indécidable que renferme le comportement du consommateur ; contre les industriels comme les distributeurs ou encore les publicitaires qui tentent quelquefois, souvent en vain, de lui faire acheter n'importe quoi à n'importe quel prix. 60 % des Américains ont une image très négative du marketing et de la publicité, 65 % affirment qu'ils sont bombardés par trop de marketing et de publicité, 64 % sont inquiets des pratiques et des motivations des publicitaires et des marketeurs. Entre 2000 et 2004, le circuit hard discount a gagné 2,8 millions de foyers clients, et plus de deux millions de clients réalisent plus de la moitié de leurs achats sur ce circuit. Plus des deux tiers des foyers français ont franchi la porte d'un hard discounter au moins une fois dans l'année. D'après le Baromètre MDD (Institut Fournier/Ph. Breton Consultants), paru en septembre 2004, les marques nationales ont perdu “leur statut de leader et de référence”. Les marques de distributeurs classiques devancent les marques nationales sur de nombreux items, comme le plaisir, la fierté ; la sécurité sanitaire ; les promotions ; même sur la qualité gustative, elles font jeu égal avec les marques nationales. Seul point positif : l'esthétisme des emballages ! 19 %, c'est, selon l'étude Megabrand de TNS Sofres, le pourcentage des Français qui rejettent toutes les valeurs de la marque. 24 % y sont totalement indifférents. Ce sont donc 43 % de Français qui ne s'intéressent plus aux marques. 95 % des personnes interrogées souhaitent qu'une grande marque “démontre en quoi elle est supérieure” et elles sont de plus en plus convaincues que les grandes marques “ne s'intéressent qu'à leur rentabilité”.

Le consommateur pose ses conditions

D'aucuns pourraient ne voir là qu'un simple épiphénomène conjoncturel et temporaire. Il n'en est rien. Désormais, le consommateur pose ses conditions : le prix, la sécurité, le service rendu et, depuis peu, des valeurs éthiques et environnementales. Enfin, le consommateur porte un regard plus critique sur la publicité et, de même qu'il est libre de choisir ses marques et ses enseignes, il va décider d'écouter ou non les messages publicitaires. Avec les MP3, les Tivo, les RSS, le podcasting, le wiki ou le moblog, les consommateurs peuvent créer un univers médiatique propre. Comme le reconnaît Emilie Darlet, « c'est la première fois que le territoire des marques est menacé ». Avec le numérique, les consommateurs ont aujourd'hui trouvé les moyens de ne plus être les simples réceptacles des messages publicitaires ; ce sont désormais aux annonceurs à les convaincre et à les conquérir. Déjà en 1999, dans son édito du Marketing Book, Babette Leforestier expliquait que c'est le consommateur « qui va donner la permission à la marque ou à l'enseigne de s'adresser à lui ». Un des phénomènes marquants de ces dernières années en ce qui concerne le comportement de consommation me paraît être ce que j'ai nommé le désenchantement pragmatique. La consommation des ménages a été et reste le principal moteur de la croissance économique de cette décennie mais l'image d'Epinal de la société de consommation est aujourd'hui largement écornée. Exit l'idée d'un épanouissement de soi qui passerait par une consommation effrénée. Sans disparaître, les composantes hédonistes (plaisirs intellectuel, esthétique et sensoriel) ont perdu de leur superbe. Une des manifestations de cette forme de désenchantement est celle qui touche actuellement l'attitude des Français face aux marques nationales. Selon l'étude Megabrand de TNS Sofres, le pouvoir de conviction des marques nationales a perdu trois points entre 1997 et 2002. L'acceptation de la prime de marque a reculé, passant de 27 % en 1994 à 21 % en 2002. Troisième élément à souligner, la perte de crédibilité des grandes marques, en particulier en ce qui concerne la compétence et l'attention à l'environnement comme aux clients. Dernier élément : 87 % des personnes interrogées attachent davantage d'importance aux caractéristiques du produit qu'à la marque. L'étude qualitative RIO de Research International confirme que l'expérience produit redevient prépondérante. La seule référence à l'imaginaire ou au symbolique n'est plus un critère d'achat aussi déterminant qu'auparavant, même si elle ne disparaît pas ; traduisant l'infinie complexité de la démarche du consommateur, mixant dans un même mouvement des attentes profondément diverses, parfois contradictoires, voire antagonistes. En résumé, on pourrait citer cette réflexion d'un concessionnaire automobile au sujet de la nouvelle Renault Logane : « Cette voiture, ce n'est pas le vendeur qui la vend, c'est le client qui l'achète. » Peut-être doit-on également s'interroger sur la possible concomitance de cette reprise en main du consommateur avec ce que J. Ziegler définit comme l'insurrection des consciences. Ici, cette “insurrection” relève davantage d'une réappropriation de la décision d'achat par le consommateur. C'est un peu ce qu'exprime de façon plus feutrée, le président-directeur général du cabinet Théma, Eric Foulquier, lorsqu'il déclare qu'il sent émerger « une forme de politisation de la consommation ».

Une rupture paradigmatique

Le sociologue Michel de Certeau est certainement un de ceux qui a le mieux, et le plus tôt, perçu et saisi toute la puissance de l'acte de consommation : « Ces manières de faire constituent les mille et une pratiques par lesquelles des utilisateurs se réapproprient l'espace organisé par les techniques de la production socioculturelle [...] il s'agit de distinguer les opérations quasi microbiennes qui prolifèrent à l'intérieur des structures technocratiques et en détournent le fonctionnement par une multitude de tactiques articulées sur les détails du quotidien ; [...] d'exhumer les formes subreptices que prend la créativité dispersée, tactique et bricoleuse des groupes ou des individus pris désormais dans les filets de la surveillance. Ces procédures et ruses de consommateurs composent, à la limite, le réseau d'une anti-discipline » (L'invention du quotidien, Folio, 1990, p. XL). Cette non-consommation constitue une rupture paradigmatique. Même s'il est nourri par des facteurs exogènes, tels que la permanence de la crise économique caractérisée, pour les consommateurs, par une stagnation du pouvoir d'achat, si ce n'est une baisse, et donc par un renforcement des arbitrages budgétaires, cet acte s'enracine dans des modifications profondes et irréversibles du comportement du consommateur. Exit la croyance innocente dans la marque, dans l'omnipotence de la technologie ou dans la véracité des discours marketing ou publicitaires. Le regard et les pratiques sont devenus des actes critiques. C'est bien de la naissance d'une consocratie à laquelle nous sommes conviés, la “consumer democracy” qu'annonçait déjà Sergio Zyman, ancien patron du marketing chez Coca-Cola.

Une réaction pleine de promesses et d'espoirs

La résistance que nous voyons poindre dans les pratiques quotidiennes et les gestes les plus routiniers représente une réaction positive, saine, pleine de promesses et d'espoirs. Parce qu'elle véhicule des attentes et des espérances riches d'avenir, même si, bien souvent, elles restent au seuil du déclaratif et peinent à se concrétiser dans l'acte d'achat  : respect de l'environnement et des règles éthiques, quête de sens, attente de réponses à des questions profondes sur les fondements de l'humanité. Le non-consommateur ne rejette pas la consommation en tant que telle ; ce qu'il conteste c'est d'être réduit à un simple réceptacle de messages marketing ou publicitaires. La résistance du non-consommateur est à la fois le révélateur de ses attentes, de ses refus, de ses espérances et résonne comme un appel aux industriels et aux distributeurs pour une autre communication, non plus unilatérale, mais multilatérale et dialogale ! Les conséquences pour le mix sont nombreuses : pour le marketing, envisager le consommateur dans toute son épaisseur et sa complexité immanente ; pour la communication, mettre en valeur les vraies qualités des produits et des services sans forfanterie ni faux-semblants ; pour les médias, prendre toute la mesure des effets induits par l'arrivée irrémissible du numérique.

Le Concept

C'est bien joli, mais comment acheter responsable lorsqu'on ne sait pas où trouver les produits?
Comme dans la pub leclerc, c'est vrai on sais pas trop.
Et puis si on voulait acheter uniquement français on n'aura pas beaucoup de produits sympa à se mettre sous la dent.
Et puis c'est plus chere et donc le pouvoir d'achat baisse.

Tout cela est bel et bien vrai.
Des prix plus chere et moins de choix sont un inconveniant pour l'interet personnel immediat du consomateur mais un avantage pour la communauté nationnale car elle favorise le developpement du pays, et on s'apercoit qu'a longterme cela reste dans l'interet personnel de chacun car un pays en recession nous appauvri tous.